Review of 'Rise of the Rotten'
Origin: Le Chant du Grillon http://www.lechantdugrillon.fr/Chroniques-Metal-1412-die-rise-of-the-rotten.html
Original french text
DIE
Rise of the Rotten
Rise of the Rotten
Label : Unique Leader Records
Nombre de titres : 9
Durée : 36:48 minutes
Pays : Danemark
Nombre de titres : 9
Durée : 36:48 minutes
Pays : Danemark
Chronique par Jean-Mimi
Tiens, on dirait l'une des créatures de The Descent qui prend son pied et certes : comment ne pas jeter une oreille au vu d'une si belle jaquette ?
Tiens, on dirait l'une des créatures de The Descent qui prend son pied et certes : comment ne pas jeter une oreille au vu d'une si belle jaquette ?
Alors après 2 Demos (dont l'excellente Relentless Pain, que je vous recommande), les Danois de Die, nous balance un bon vieux Skeud de Brutal Death des cavernes. Plus méchant qu'un Raptor à la diète et plus vicieux qu'un krakoukass en rut, les mecs restent la tête dans le guidon pendant une grosse demi-heure en ne reprenant qu'une goulée d'oxygène sur les minis interludes et il y en a pratiquement pas. La preuve ; l'ouverture ultra brutal d'un Executionroom va illico enchanter les amateurs de castagnes en cascades OK... mais pas seulement, car les aficionados du manche en fusion vont également en avoir pour leur pognon. En effet, le boulot des grattes (Riff comme Solo) est vraiment à saluer, d'ailleurs, nous retrouvons Rasmus Henriksen au défouraillage centrale et ceci explique sans doute cela. Panzer-Man s'en donne à cœur joie et jonglant de violence pure :
- Soil Became Flesh ; titre fulgurant au travail batterie monstrueusement jouissif et merveilleusement entériné d'un solo Herculéen !
- Dead Flesh Makeover ; qui malgré une débauche de furie musicale ouvre une micro faille au grogneur en chef. Big Perf, car sur ce titre, il fallait s'accrocher quand même !!!!!
- Dread Lord ; Furieusement puissant, ce titre fracasse tout sur son passage (mon favori).
Aux trucs nettement plus alambiqués :
- Soul Scavenger ; 5 minutes 10 à patauger avec les cannibales du marécage, énooorme !
- Mors et Sanguis ; peut être le morceau le plus technique avec une pointe de mélodie dans le refrain, ce qui le rend particulièrement craignos hé hé... j'adore.
- Rise of the Rotten ; au Riff lancinant et au solo diabolique, en live miam miam.
- Gore Monger ; ou l'ultime offrande au Dieu radius, tiens... cet éblouissant solo m'a donné faim et sur ce j'vais finir mon tibia.
- Soul Scavenger ; 5 minutes 10 à patauger avec les cannibales du marécage, énooorme !
- Mors et Sanguis ; peut être le morceau le plus technique avec une pointe de mélodie dans le refrain, ce qui le rend particulièrement craignos hé hé... j'adore.
- Rise of the Rotten ; au Riff lancinant et au solo diabolique, en live miam miam.
- Gore Monger ; ou l'ultime offrande au Dieu radius, tiens... cet éblouissant solo m'a donné faim et sur ce j'vais finir mon tibia.
Alors, que l'on préféré du mitraillage "non stop" ou ; la même chose avec des douilles cuivrées. L'un comme l'autre, le quintet Danois relève le succulent défi, d'offrir à l'un des publics les plus rigoureux (soit, aux abonnés de Tronço-Mag) un excellent disque. Bilan des courses : le Fan de Death Brutalement Basique ne peut passer à côté de ce premier Skeud. De plus...sauvagement bricolé par Tue Madsen, en plus de la fureur : il y a le Son du Dragon !